Il y a plusieurs siècle, nos terres étaient en paix avant que les humains et leur armée ne viennent bouleverser notre équilibre.
 
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 La mort... cette contrée ignorée dont nul voyageur ne revient, si ce n'est le « Chat d'Argent ».

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Innocent H. Phantomhive

Innocent H. Phantomhive


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La mort... cette contrée ignorée dont nul voyageur ne revient, si ce n'est le « Chat d'Argent ». Empty
MessageSujet: La mort... cette contrée ignorée dont nul voyageur ne revient, si ce n'est le « Chat d'Argent ».   La mort... cette contrée ignorée dont nul voyageur ne revient, si ce n'est le « Chat d'Argent ». Icon_minitimeMer 25 Jan - 18:57



      Phantomhive Hamlet Innocent

      Âge- Suite à une pâmoison dont je fus difficilement tiré, le monde s’éveilla à moi tel à un esprit amnésique. Que cela soit les architectures, les coutumes vestimentaires ou bien les mœurs, en quelques époques seulement tout à bifurqué. Ô famille ! Vous voilà bien dernière mes pas, et qui pourtant, vous demeurez omniprésent ; serait-ce grâce à votre baldaquin funèbre ? Pour ma part, je n’ai ni tombeau dans lequel me reposer, ni foyer sous lequel m’abriter, je n’ai qu’une barque sur laquelle je vogue sur les eaux du Styx. Etait-ce réellement la destinée qui m’était réservé ? Ô Ciel, mon frère, mon reflet, de par les limbes ; ton visage reste de vie. Si je le puis et si tu me permets, accepte donc de m’accorder ton apparence distordue. Demande rhétorique ? Sans doute. Tout deux partageons le même sang, la même apparence, la même naissance à quelques minutes près. Qui donc est le un, qui donc est le deux ? Autant aller au diable lui demander. À notre treizième anniversaire, nous perdîmes la vie. Or, je fus l’unique à renaître de nos cendres le siècle suivant. Va, inutile que je succombe dans cette miséreuse sensiblerie, tu ne me connais que trop bien pour savoir à quel point je peux exécrer ceci. Treize ans de notre apparence, bien plus par notre expérience.

      Sexe- Serait-ce un amer lazzi ? Soit, il est en effet concevable que l’on puisse s’appuyer sur le fameux proverbe ; les apparences sont trompeuses, or avec une apparence telle que la mienne ne peut-on, ne serait-ce que se douter, conclure avec spontanéité que je fais bel et bien parti de la gent masculine ? Mon visage poupin ? Ahem, il est vrai que je suis bien jeune, mais aux âmes biens nés, malgré mon apparence juvénile certains traits se dessinent plus que d’autres n’est-il pas ? Efféminé ? –Soupir- Quelle curieuse époque qu’est celle-ci. CERTES, je suis vêtu d’un bien grave accoutrement or je suis vêtu tel à mon époque ! Qui de plus est, les mœurs se libèrent ; les femmes portent de la toilette d’homme et vice-versa, au risque de me répéter : Quelle curieuse époque dans laquelle je baigne.

      Date de naissance- Qu'est-ce donc cette enivrante odeur que j'exhale ? Le parfum de Noël ? N’est-il pas tôt pour ne serait-ce qu’aborder ce sujet ? Après tout, nous ne sommes que ce funeste jour, le jour où l’évangile quitta les abîmes et regagna les cieux afin de laisser place au Jugement Dernier. Le 12 Décembre ? En effet, ledit jour où tout s’effondrera selon d’ancien écrit Aztèques…Maya dites-vous ? Il s’agit du 21 Décembre en réalité ? Qu’importe. Il ne s’agit guère de cet évangile là, non, il s’agit de cette autre porte qui s’ouvrir exactement ce soir là, ce jour là, cette porte là, celle de la vie. En effet, je naquis le 12 décembre il y a feu longtemps. En quelle année ? En quel siècle devriez-vous dire, d’outre tombe, je brandis mon poing hors de mon tombeau, hors de cette chambre nuptiale qui était mienne jusqu’à présent. Naquis à Londres, patriote envers le drapeau Britannique, mon cœur et mon sang n’ont pour seul et unique dévolu d’être versé sur le tissus sacré qu’est mon cher drapeau, emblème d’Angleterre.

      Orientation sexuelle- Mon discours a beau être confus, il n’en demeure pas moins que cette question ne peut que me outrer ! Certes, les mœurs et tous ce qui s’en suivent régressent or, l’intimité a telle suivie le même sentier distordu ? Depuis le peu de temps où je me suis éveillé, il aurait fallut que je me rende à l’évidence : Je dois faire le deuil de mon temps. Néanmoins, dans mon temps, il était vrai que les mariages entre cousin germain, entre adulte et enfant tant que tous appartenaient à une classe aristocratique, se faisaient anodins. De bouche à oreille, jamais n’ai-je ressenti la moindre pulsion désireuse du plaisir charnelle ; asexué ? Si cela peut vous faire taire, ceci est la réponse adéquate. En règle avec mes convictions d’antan, je ne puis que me permettre ceci seulement et après m’être piquer du venin qu’est l’amour. En somme, je suis fidèlement marié à la vie tout comme à la mort, chambre et antichambre nuptiale.

      Race- Longtemps a sommeillé à l’ombre de mes cils, une vérité bien plus poignante que tout mensonge. Longtemps ai-je vécu aisément, dans l’ombre des lustres et des soirées mondaines faisant las de tant d’artifice. Y coulais-je des jours heureux ? Nul ne le sait, pas même nous. En contrepartie, nous vivions humains avant que la mort nous fasses Chat d’Argent et défunt, bien que. Autrefois humain, aujourd’hui Chat d’Argent, quelle bien cruelle ironie du sort en sachant pertinemment que j’ai en horreur les bêtes. Que cela ne tienne, soit, ô cruelle ironie ! Que ma complainte te soit chantée par les chérubins de la discorde ! Certes, contraint à me saisir d’une faux, j’apporterai argent et âme entre vie et mort or ; le mythique que je suis ne le sera éternellement ! Ceci n’est guère une menace, il ne s’agit que d’une simple prédiction.

      Pouvoir(s)

      Arme(s)


»» DESCRIPTIONS PHYSIQUE & MORALE


    Aux allures d'une coquette maigre aux airs extravaguant, ma morphologie juvénile s'adapte aux mœurs de mon époque à ce jour révolu. À la fois simpliste et complexe, juvénile et sage ; mon apparence affaisse les critiques que l’on puisse reprocher à un dit enfant de mon âge. N’avez-vous donc jamais entendu une mère gourmander son enfant tout simplement car celui est jeune et donc irresponsable ? En ce qui me concerne, j’aspire aux plus grandes responsabilités qu’il me puisse être confiées tout en m’attelant, bien que ma jeunesse me faisait parfois défaut, à cette dite tâche dans les délais donnés. Ceci étant dit, il se peut parfaitement que je peste sur une tâche comme sur une autre si celles-ci me déplaisent, en ce cas, prenez garde à ne pas être sur mon sentier sous peine de subir l’une de mes crises d’enfants. Colérique ? Oui, et ? Je n’ai jamais nié, à ce que je sache, l’être et tous ceux se prenant au jeu de s’en moquer peuvent donc continuer à se moquer, rire et toutes autres mimiques hypocrites, ils n’ont pas la moindre considération pour moi, leur dire ne m’affecte pas. Outre cela, j’ai pour qualité un redoutable sang-froid dont je sais mettre à rude épreuve, si ce n’est que je le maltraite en vue de mes caractères opposés. Colérique et sang-froid ? Paradoxe, antithèse, oxymore et pourtant. Il est bien vrai que je suis jeune, mais aux âmes bien nées. Qu’est-ce que ceci signifie ? Que l’on doit se méfier des apparences et en contrepartie les apparences se méfieront de vous. Mes deux tendances pourtant si opposées s’harmonient merveilleuses bien, d’après certaines langues, et j’ai usé des deux tel le feu et la glace que j’incarne. La rage infantile d’un bien petit enfant faisant un caprice et la sagesse issu du sang-froid d’un adulte réfléchit et en théorie mature. J’use de mon froid telle est ma coutume. À l’écart de la société, dans l’ombre de l’histoire, je m’attèle et règle les problèmes de cette dernière en sachant éperdument que malgré mes baumes, panser les plaies de ladite société m’est en réalité impossible. Ô glace, de ton froid qui m’imbibe, je suis impitoyable envers ceux que la vie à enfanté. J’use de mon feu lorsque mes passions se déchainent. Amour, cyanure de la vie, n’as-tu point de vergogne de prendre tant de vie et d’en donner si peu en contrepartie ? Ris, moque toi des miséreux s’étant piqués à ta fleur d’Amour, ris et moque toi de ceux gisant sur les dalles de l’abysse tant l’agonie d’un amour perdu ne cesse de croître et s’accapare de leur corps. Ris, Amour, ris et moque toi ; c’est bien toi qui rira le dernier. Je ne tomberai pas sous ton charme, je ne succomberai pas de mes blessures, je t’écraserai, ô Amour. De ma hargne, je suis aveugler de vengeance, je n’aurai de répit que lorsque je serai abreuvé par le sang et les larmes de ceux m’ayant affligé tant de peine, suis-je clair ô mon feu ? Ô feu, de ta chaleur qui m’enivre, j’écraserai tous ceux encombrant mon rude sentier.

    Ses yeux profonds sont faits de vide et de ténèbre, et son crâne de fleurs artistement coiffé, oscille mollement sur ses frêles vertèbres. Ô charme d’un néant follement attifé ! Mon apparence s’est accoutumée à ces jérémiades, ainsi tous, à des soirées mondaines où pourtant je ne suis qu’ornement, soufflaient ces quelques blasphèmes tout en ricanant de ceci tel de vielles commères. D’apparence bien terme pourtant, cette dernière est typée britannique. Il est vrai que ma peau blême peut évoquer bien des surprises or le pays où j’ai naquis ne laisse paraître que rarement le soleil par delà les voiles brumeux dans lequel il baigne. Ceci explique cela. Mon teint est certes blême et c’est en cela que l’on reconnait mes origines, pour un Européen, toutefois ce dernier se marie avec harmonie aux cendres qu’empreignent ma chevelure et qui lui donne cette texture si brisée, craquelée et si fragile qu’à la moindre brise, elle s’élève, volète et danse avec le vent. Tout ceci n’est que de la poudre aux yeux n’est-il pas ? Contrairement à ce que beaucoup croient, je ne me brise point dès que l’on m’effleure, je ne suis ni fait de cendre ni fait de porcelaine ; je suis fait d’os et de chair comme tout être humain n’est-il pas ? Et pourtant, je n’en ai plus l’apparence. Autrefois humain, aujourd’hui monstre. Des oreilles naquirent sur le haut de mon crâne, narguant mon passé dédaigneusement. De couleur ébène, elles sont sans cesse masquées dans cette même chevelure surplombée ensuite d’un haut de forme, chapeau melon et autre artillerie de coiffe. Ressentir de la vergogne envers ces ornements pileux ? Que cela ne tienne, tous ceux prenant compte de ces attributs là seront broyés par mes mots, si ces langues de vipères se joue de moi d’un revers hypocrite, elles seront exterminés sur le champ par mes soins ; bien que n’aimant point me salir les mains. Tous le connait bien, que je suis orgueilleux. Il m’est possible de murmurer quelques railleries dont je suis fort fier tant que celles-ci demeurent vraies. Or, je n’irai jamais à l’avant de mes convictions hurler au loup comme quoi je suis ci ou bien cela, certes orgueilleux et non narcissique. Narcissique, entonner ses propres louanges...Acclamer ce don qu’est le corps offert par la vie…Je ne le suis guère et je le soutiens, jamais cet idéal là me sera compris, les seuls louanges que j’ai pu un jour me souhaiter étant sur mon regard. Un regard provoquant bien des naufrages, apportant vie et en faisant mort, un regard qu’autrefois fut et qu’ensuite ait été perdu par la force des évènements. Jadis, ce même regard luisait le jour et s’éteignait le soir ; ce saphir se fondant dans le bleu infinie du firmament. Puis vint le jour où le joyau fut dérobé par de vile main, n’ayant aucun scrupule à venir de leur propre derechef saisir la pierre et l’arracher de son emplacement quelle obstruée, de ce jour là, je ne suis qu’à moitié âme, qu’à moitié reflet, qu’à moitié ombre et je fus mannequin qui déambula misérablement sur son sentier avec comme seule compagne la rage. Ô mon feu, comme nous nous retrouvons n’est-il pas ? Va ! Accompagne moi et consume moi à ta guise le long de mon périple éternel, ma glace n’en sera pas moins victime de ta fournaise qui embrase ma chair, la fait dépérir masquait par ma toilette de linceul. Opiniâtre, ainsi suis-je, rien n’ébranlera mes conviction ; que cela soit ces dames exhalant une eau de toilette digne d’un putois comme de ces gras messieurs n’ayant pour seul loisir d’honorer ces mêmes dames là. Mes convictions me sont fidèles tout comme je suis fidèle à mes convictions, rien et encore moins cet amour changera celui que je suis, pas même cette malédiction changera l’être que je suis. Qui suis-je ? Innocent. Méfiez-vous des apparences à ce que l’on dit, méfiez-vous donc de l’avarice, elle pourrait bien être votre dernier pêché.

    Accablé par des liens chimériques tissaient à la fois par blanc et noir, beaucoup me croit faucheuse, ce n’est que méprise. Je sais, et j’ai lu ce que je devais faire ; c’est bien ceci que j’ai accepté en échange de mon étincelle de vie, en échange de mon joyaux. De ce jour, je suis borgne. Cache-œil, bandage, chevelure tout est un moyen à présent afin de camoufler cette bien laide plaie que j’abrite. Tant que ces attirails s’harmonient à mes toilettes de l’accoutumée, ma complainte n’est qu’un murmure susurré. Il est bien vrai que je suis coquet, il est bien vrai que ma garde robe compte bien des parures toutes d’un temps révolu or ce qui ne l’est pas, de vrai, c’est que l’on puisse m’approcher. Que cela soit avec un gloussement tout comme à pas feutré, quiconque m’approchant se verra balayé. En froid avec l’humanité dont je juge de risible, les autres ne sont qu’Enfer pour moi. Ici, je suis l’ombre que l’on ne remarque point. L’humain égocentrique que l’on en défit point si ce n’est par la parole, prenant ainsi le risque d’être détruit. Damné à n’être qu’une ombre ? Ainsi souhaitez-vous percevoir mon bien miséreux sort ? Soit, faites et faites à votre guise tant que le déni est votre. Contrairement à vos croyances profanatrices, je ne suis ni démons, ni monstre, ni martyr. Je suis ce que l’on a décidé de nommé le Chat d’Argent, certes pas éternellement, je m’y résous par ma glace, je m’y oppose par mon feu. Ainsi était notre dernier soupir d’entre nos lèvres juvéniles, d’un souffle ardent qui se gela une fois s’entremêlant avec le gaz envoisinant, notre souffle n’avait pas pour mérite d’être compté parmi les gaz nobles fallait-il croire, pourtant c’est que notre sang pleuré lorsqu’il s’écoula dans les sillons de nos mains. Dément ? Nullement. À présent, mes lèvres sont accoutumées à des philtres. J’ai longtemps rampé au sol, pas le moindre de mes halètement convainquaient mes jambes de me dresser à nouveau, ce fut mes plaies ardentes qui évoquèrent ce mouvement là, cette rage là de me dresser et d’empoigner le peu qui me rester de vie pour faire ceci, oui ceci. Ainsi suis-je. Ainsi est le Chat d’Argent feu humain et ainsi est Innocent Hamlet Phantomhive.


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Sir Mycroft

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Bienvenue Innocent <3
Bonne continuation pour ta fiche ^^
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